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Editeurs de logiciels français : quelle implantation à l'étranger ?
- Par altermarket
- Le 30/11/2015
Le Truffle 100 fait le point et la conclusion est sans appel. Les éditeurs français se tournent largement vers le Royaume-Unis et à terme vers les Etat-Unis pour leur déploiement à l'international... Avec succès !
États-Unis et Royaume-Uni, premiers pays d’implantation du logiciel français
Par Guillaume Scifo 15 mai 2015
Mots-clés : Digital Working, logiciel, Start-up, Europe
- inShare72
Le Truffle 100 fait chaque année le palmarès des éditeurs français de logiciels. Pour 2014, le constat est clair : le secteur se porte très bien. Surtout grâce aux pays anglo-saxons.
Les logiciels français seraient-ils fans des pays anglo-saxons ? Ou serait-ce l’inverse ? À la lecture dudernier palmarès Truffle 100, en tout cas, on croirait le secteur très attiré par les États-Unis et du Royaume-Uni. L’étude réalisée chaque année par Truffle Capital et le Centre d’expertise en progiciels (CXP), met en lumière l’importance des deux pays pour les éditeurs de logiciels français. Ces sont parmi les premiers pays d’implantation pour les entreprises françaises du secteur. 31 % des éditeurs ont des parts de marché outre-Manche ; 23 % outre-Atlantique. À titre de comparaison, ils ne sont que 10 % en Chine ou au Maroc. D’autant que la tendance est loin de s’inverser : la moitié des éditeurs interrogés par l’étude entendent continuer leur déploiement international.
« Les éditeurs de logiciels voient le pays [le Royaume-Uni] comme une porte d’entrée vers les États-Unis, le plus gros marché du software. »
Pour expliquer une telle avance du Royaume-Uni dans le classement, Bernard-Louis Roques, directeur général de Truffle Capital évoque d’abord la distance : « La place du Royaume-Uni s’explique par la proximité géographique, c’est le premier réflexe quand on va à l’étranger. Et les éditeurs de logiciels voient le pays comme une porte d’entrée vers les États-Unis ». Une porte d’entrée vers « le plus gros marché du software » selon Bernard-Louis Roques.
Car si les éditeurs français peuvent se permettre d’investir du côté de Londres ou de la Sillicon Valley c’est d’abord parce que le secteur jouit d’une très bonne réputation et se porte très bien. Ainsi, en 2013, sur les cent premiers éditeurs de logiciels français, 78 étaient en croissance. En 2014 ils étaient 98. Le palmarès établi par Truffle Capital et le Centre d’expertise en progiciels (CXP) souligne d’abord la forte croissance du secteur. D’ailleurs ce dernier recrute énormément : entre 2013 et 2014, les éditeurs français sont passés de 79 000 employés au total à 103 000.
L’évolution des effectifs chez les 100 premiers éditeurs de logiciels français
Pour expliquer cette très bonne santé, l’étude de Truffle a tenté d’analyser les tendances. En tête : lecloud computing et les offres SaaS (Software as a Service soit la transformation des logiciels en offre en ligne disponible par abonnement à la place de l’installation sur les terminaux). 68 % des éditeurs de logiciels ont ainsi une offre en SaaS. Ils n’étaient que 42 % en 2012. Pourtant Bernard-Louis Roques relativise ce constat : « Il y a des évolutions sérieuses du marché en ce sens mais cela reste marginal. On estime que le SaaS représente autour de 5 % du chiffre d’affaire global ».
télémarketing détection de leads phoning
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